Onctions des malades

Le sacrement des malades est trop souvent méconnu de beaucoup de chrétiens. Le Concile Vatican II en a précisé le sens.

Quand faut-il le recevoir ?

Disons d’abord qu’il n’est jamais trop tard, donc aussi aux derniers moments de l’existence.
Mais il est bien préférable de le solliciter et de le recevoir très auparavant, en toute liberté, en pleine conscience et lucidité.

On demandera l’onction quand la mort menace, dans les cas suivants :

    ¤ Si l’on est atteint d’une maladie assez grave ;
    ¤ Si l’on sent ses forces s’amoindrir par le poids de l’âge et des infirmités ;
    ¤ Si l’on est exposé à des accidents de santé ;
    ¤ Si l’on doit subir une opération sérieuse.
L’onction apporte le réconfort, la paix, la sérénité et parfois la guérison.

Toute notion de crainte ou sentiment d’angoisse doivent en conséquence être écartés, qu’ils viennent du malade, de sa famille ou de son entourage.

Pour les chrétiens ne pouvant sortir de chez eux, un prêtre se rend à domicile pour une cérémonie familiale.

Mais la célébration communautaire du sacrement des malades est préférable ; elle se déroule à l’église avec la prière de tous les assistants.

Sur notre paroisse, une célébration communautaire est proposée chaque année.

Comment la recevoir ?

Si vous ou un de vos proches désirez le recevoir, n’hésitez pas à en parler à un prêtre de la paroisse.